Michel Brioul psychologue clinicien

Michel Brioul psychologue clinicien

Mes différents ouvrages

On sait que le développement des contemporains de Cro-Magnon était en tous points semblable au notre. Si l’on souligne souvent cette similarité sur le plan anatomique, il faut affirmer que cette proximité concerne également leur psychologie : intelligents et habiles, ils étaient soumis aux mêmes tourments psychoaffectifs que nous-mêmes. Si leur environnement et leur adaptation à l’espace naturel étaient différents d’aujourd’hui, ils éprouvaient comme nous, rêvaient comme nous, imaginaient comme nous, souffraient et jouissaient comme nous de la vie, se posait des questions quant à leur origine, leur devenir et leur place dans ce monde et au sein de leurs communautés, ou vis-à-vis des animaux qu’ils côtoyaient chaque jour, qu’ils chassaient et/ou les menaçaient. Comme nous, ils possédaient le langage, étaient possédés par leurs affects, et leur inconscient gouvernait une part importante de leur volonté… 
     
     Ne possédant que quelques connaissances objectives, ils se posent probablement des questions sur le monde avec lequel ils vivent, et dont plusieurs aspects les intriguent. Pour répondre aux nombreux questionnements qui les taraudent, ils ne possèdent pas les données scientifiques qui sont les nôtres : ils ne disposent que de leur pensée et de leur créativité mentale, dont les traces qu’ils nous ont laissées sont les manifestations. Ils ont une double vie : réelle et fantasmatique. Tout comme pour nous, cette vie psychique est soumise à leur volonté consciente, autant qu’aux rouages de leur inconscient.
    
     Cet ouvrage aborde et décrypte cette dynamique mentale : à l’instar de la méthode et des acquis de la psychologie clinique, considérant l’expression graphique comme un témoin du monde psychique, dévoilant les aspects projectifs du fonctionnement mental de ses auteurs, il est possible d’analyser les œuvres pariétales comme la traduction de la dynamique psychologique sous-jacente.

    C’est cette thèse que défend l’auteur, apportant un éclairage complémentaire aux apports des spécialistes de la préhistoire, pour contribuer à décrypter les sens et fonctions des œuvres pariétales.

Son expérience de psychologue clinicien a croisé sa passion pour la vie et les œuvres des femmes et des hommes de la préhistoire. Praticien et formateur en psychopathologie, il consacre une part de ses recherches à l’expression créative de nos ancêtres d’il y a 40 000 à 15 000 ans avant aujourd’hui. Il enrichit ces études en se documentant à partir des travaux des préhistoriens, ethnologues et anthropologues qui se sont intéressés à l’art pariétal. Il a lui-même visité de nombreuses grottes dites ornées, parfois à plusieurs reprises (Pech Merle, Cougnac, Pair non Pair, Les Combarelles, Font de Gaume, Abri de Cap Blanc, Rouffignac, El Castillo…) ou leurs fac-similés (Lascaux II puis III et IV, Chauvet-pont d’Arc, Altamira) et consulté les photographies de plusieurs autres. Ces rencontres, à la lumière des acquis de la psychologie et de la psychanalyse, lui ont suggéré un ensemble de pensées qu’il expose ici.  

Les structures médico-sociales sont de plus en plus souvent confrontées aux accès de violence des enfants, des adolescents et des adultes accueillis. Cette réalité n’est pas nouvelle, mais elle s’accroît avec les évolutions sociales et l’essor d’une population dont les troubles psychopathologiques, assortis de déficiences et carences éducatives, sont avérés. Les crises clastiques sont inhérentes aux souffrances des individus, à l’incapacité de gérer l’insupportable pression qui habite ces personnes en difficulté psychique, mentale ou sociale. Ces comportements, intolérables et traumatisants, laissent souvent les professionnels démunis, au sein d’institutions qui ne savent plus quelles ressources mobiliser.

Que faire face à ces expressions qui sont à la fois symptomatiques d’une souffrance et délictueuses au regard de l’appartenance à la communauté humaine ? Comment les entendre au regard des pathologies sous-jacentes et les contenir, voire les réprimer au nom de la cohésion sociale ? Comment permettre aux équipes de mieux aborder ces situations au quotidien ? Quelles sont les attitudes pertinentes, les modalités d’accompagnement et de régulation les plus justes, les prises en charge pédagogiques, éducatives, sociales, légales et thérapeutiques les plus adaptées, vis-à-vis des auteurs de ces actes ?

Les fondements de ces interrogations constituent la trame de cet ouvrage : en explorant d’abord la nature des violences, puis en les rapportant aux différents contextes psychologiques qui les génèrent, l’auteur nous aide à comprendre le sens de ces difficiles problématiques. C’est sur la base des réflexions ainsi développées, étayées par de nombreux exemples cliniques, qu’il propose en fin les réponses concrètes qui pourront leur être apportées.

Introduction : des problématiques en mutation
La violence rédemptrice (et/ou « thérapeutique »)
La violence et le médico-social

1. Nature de la violence
La violence paradoxale
Fondements de la violence
Les substrats infantiles de la violence
  Les manques
  Les abus
La structuration de la violence
Psychologie de la violence
Psychosociologie de la violence
La violence et les écrans
Psysiologie de la violence

La violence glorifiée
Pulsionnalité et violence
Classification des violences
Le passage à l’acte

2. Expressions de la violence
La violence comme symptôme
    Le cas particulier des violences envers soi-même
    Sens et fonctions de l’automutilation
    Les scarifications
Violences et psychopathologies
    L’axe de la discordance
    L’axe de l’évanescence du réel
    L’axe du retrait autistique
    L’axe des avatars narcissiques
    L’axe des défaillances cognitives
La violence comme délit

3. Gérer la violence
Clinique de la violence en institution
  La peur…
  La violence institutionnelle
  Protéger…
  Contenir…
Sanctionner : punir, réparer, réhabiliter…
    Quelles sanctions ?
    Quelles thérapies ?

Conclusion : comprendre la souffrance

La sexualité est une question extrêmement complexe et tout particulièrement pour les personnes fragiles ou démunies sur le plan psychique. Chacun construit son propre rapport à la libido et à l’érotisme, dont le fonctionnement est spécifique à chaque individu, certains n’y ayant même pas accès. Présenter la sexualité comme un besoin fondamental, une nécessité incontournable et universelle serait une erreur. Ce serait même un leurre qui risquerait d’être néfaste pour qui s’y laisserait piéger, qu’il soit professionnel ou usager.

Sous l’égide d’une pseudo-libération, le discours dominant semble pourtant prôner
que les personnes handicapées profitent désormais, sans discernement – au nom d’un égalitarisme normatif –, d’un accès à la sexualité banalisé. Face à cette ligne privilégiée, l’auteur expose ici un point de vue qui souligne les dérives de cette conception et surtout les difficultés bien réelles que rencontrent les personnes dont le handicap mental entrave les relations à eux-mêmes et aux autres : pour eux, la sexualité s’avère parfois plus problématique que bénéfique.

Tout en soulignant l’importance du plaisir sensuel dans le développement humain
et son rôle dans l’épanouissement de la plupart des hommes et des femmes, l’auteur démontre qu’une réflexion clinique individuelle doit s’imposer pour répondre aux questions posées par l’accompagnement institutionnel médico-social de la sexualité.

Après avoir décrypté les différents aspects de la sexualité humaine, sa dynamique
et ses composantes, cet ouvrage aborde l’éventail des handicaps et psychopathologies, depuis la névrose jusqu’aux perversions, en passant par les diverses formes de psychose. L’auteur articule cette clinique avec celle de la sexualité, avant d’étudier les pistes institutionnelles qui contribueront à un accompagnement judicieux et pertinent pour chacun.

Introduction : l’ère nouvelle de la sexualité…

1. Comprendre la sexualité (et celle des personnes handicapées…)
Sexe, sexualité, génitalité…
Les sensations : la meilleure ou la pire des choses
Les zones érogènes
Les sens orificiels
Le sens contact : le toucher
Les sens profonds : kinesthésie et cénesthésie
Intersensorialité et sexualité
Dynamique de la sexualité humaine
Biologie de la sexualité (aux sources du désir et du plaisir)
Le rôle des hormones…
Le rôle du cerveau…
Pulsion… Excitation… Libido
Affects, émotions et sentiments
Fantasmes, imaginaire et créativité…
Régulation sociale
Quelques aspects particuliers de la sexualité
À propos de l’homosexualité
• Religion et homosexualité
• Psychologie de l’homosexualité
• L’homosexualité en institution
Le leurre des assistant(e)s sexuel(le)s
La masturbation
• Handicap et « masturbation »
Les objets du plaisir

2. Comprendre les personnes handicapées (et leur sexualité)
Angoisses, plaisirs et sexualité
Séduire…
La corporéité
Le schéma corporel
L’image du corps
• L’image de base
• L’image fonctionnelle
• L’image érogène
La matrice spéculaire
Les enveloppes corporelles
La petite mort…
Souffrances psychiques
L’axe de la discordance
L’axe de l’évanescence du réel
L’angoisse de morcellement
L’acmé du clivage
La toute-puissance…
La schizophrénie
La bipolarité
L’axe du retrait autistique
L’axe des avatars narcissiques
Structures anaclitiques et abandonniques…
Psychopathie et perversion
L’axe des défaillances cognitives
L’axe des défaillances motrices

3. La sexualité au risque de l’institution
Le paradoxe institutionnel de l’intimité…
Charte de la sexualité en institution
Préambule : de la morale à l’éthique
La morale sexuelle…
N’y a-t-il donc pas d’issue entre obligation et interdit ?
Quelle éthique ?
Le souci des droits fondamentaux
L’obligation de signalement
Le souci de protéger
La notion de consentement
Prévention des IST
Le souci d’éduquer
Les nouveaux outils de communication
Le souci d’informer et de former
Les bénéficiaires
Les familles
Les animateurs
Le cadre…
La méthode
Les contenus
Quels moyens ?
Le souci de soigner
Le souci clinique

Conclusion

La perte d’un proche est un évènement auquel chacun est, a été, ou sera confronté :  cette disparition, douloureuse pour tous, est une difficulté plus importante encore pour les personnes fragilisées par un handicap, et/ou souffrant d’une  pathologie psychique, et/ou en situation de dépendance. Cette réalité est pourtant très souvent négligée en institution, voire totalement forclose en raison des ignorances et des peurs des équipes face à la mort.

Au sein des structures médico-sociales, dédiées à l’activité et l’autonomie, il est difficile de considérer ces imprévus qui rompent la dynamique des projets de vie. Absent des formations initiales, le temps du deuil, celui des rites et des souvenirs, laisse souvent tous les acteurs (résidents, parents et équipes éducatives) démunis. Pourtant, les établissements doivent faire face à de telles éventualités, en raison même des vulnérabilités assorties de l’avancée en âge des bénéficiaires et de leurs parents.

L’expérience du deuil suppose son affrontement puis son dépassement avant toute reconstruction affective. Or, les personnes accueillies dans les institutions sont par essence privées des ressources qui leur permettraient de surmonter le vide laissé par le défunt : la mission des professionnels n’est-elle pas de les aider tout particulièrement en ces circonstances ? Ce livre trace les pistes de réflexion et d’action de ce nécessaire travail de soutien.
Comment redonner à la mort, aux funérailles et au deuil leur place essentielle dans la vie institutionnelle ? Comment rendre possible leur prise en compte dans les projets des établissements médico-sociaux ?

L’auteur examine ces questions en donnant des pistes pour repenser ces difficiles moments et agir de façon judicieuse : Comment accompagner la mort ? Qu’est-ce que le deuil ? Y a-t-il une pathologie du deuil ? Comment aider les endeuillés en institution, les usagers mais aussi les professionnels ? Quel est le rôle de chacun ? Peut-on être heureux après un deuil ?

À partir des réflexions suscitées par ces interrogations, cet ouvrage aborde les différents aspects de la prise en charge, de l’aide éducative et thérapeutique qui peuvent être proposés aux enfants et/ou adultes accueillis en institution médico-sociale.

Introduction

Être ou ne pas être ?
Y a-t-il une vie après la mort ?
Pour ceux qui restent
Pour ceux qui partent

Mort et mythologies

Mort et biologie

Le sens de la vie…

1. La vie
Un tricot de joies et de peines

À toute chose malheur est-il bon ?
La faute à qui ?
Le temps de la souffrance
Deuil et narrativité
La plainte
Nature de la souffrance
Accueillir la souffrance en institution

2. La mort
La mort aujourd’hui
Une fatalité « sous contrôle » ?
Rites funéraires et rites de passage
Faire face à la mort

La question de l’euthanasie
La seule issue ?
Une législation récente
Voyage en Suisse
Des requêtes singulières

La mort en institution 
Une démarche palliative
Le soutien de l’analyse des pratiques
La fin de vie d’Amélie : un accompagnement palliatif

Peurs et angoisses de mort
Chez les personnes névrosées
Chez les personnes psychotiques
Gérard et l’angoisse des pannes

L’EHPAD, la dernière demeure
Entre tabou et réalité crue
Des séjours temporaires ?
Assumer les fins de vie

3. Le deuil 
Le sens du deuil est-il perdu ?
Penser la mort, et non seulement l’agir
Retrouver le temps des rites
Redonner sa place au symbolique

Le pluriel du deuil 
Deuil social et deuil intime
Le deuil n’est pas la dépression
Deuil et mélancolie
Deuil et attachement
Abandon et deuil
Restaurer le lien dans le deuil

L’apport de Elisabeth Kübler-Ross : les stades du mourir et du deuil

Les dimensions psychiques du deuil : de la réalité à la représentation
Un processus psychique dynamique
Le rôle de la pensée, de l’imaginaire, du souvenir
La vie, c’est toute une histoire
Célébrer les morts
Dire les émotions
Fonction thérapeutique de la parole
La parole sans les mots

Deuil et pathologies
Deuil et isolement
Deuil et réalité
L’importance des funérailles
Le deuil chez les personnes psychotiques
Le deuil chez les personnes névrosées
Bienfaits du deuil

4 . La question du suicide 
Sociologie du suicide

Psychologie du suicide
Vulnérabilité
Handicap et suicide

Un deuil complexe
Deuil et détresse post-traumatique

5. Les professionnels et le deuil 
Une traversée à ne pas éluder 
Une formation nécessaire
Partager les émotions
La mort pour tous
Les résidents face à la mort

À l’issue du deuil
Soutenir la rébellion… comme l’illusion créatrice
Vous avez trouvé votre bonheur ?
Les rendez-vous du bonheur
Les lendemains heureux : fantasme ou perspective ?
Conclusion
Émois, larmes et traces 

Exprimer ses émois

Oser pleurer

La consolation se conjugue au pluriel

Marquer le souvenir

Comprendre, diagnostiquer, agir
En sait-on aujourd’hui davantage que lorsque Léo Kanner en 1943 décrivit pour la première fois la spécificité de ces pathologies handicapantes ? La confusion qui s’est installée autour de ce diagnostic, les batailles qui font rage entre les tenants de tel ou tel courant de pensée ne contribuent pas en tout cas à donner une image fiable de ces étranges individus… Pour autant, ces propos semblent ne concerner que les enfants, comme ci, au-delà de l’adolescence les autistes disparaissaient, ou, pire, n’intéressaient plus personne…
Beaucoup, parvenus à l’âge adulte, ne sont néanmoins pas sortis des affres de cette pathologie invalidante et poursuivent leur cheminement, accompagnés par les équipes institutionnelles et leurs proches. Les uns et les autres mobilisent toute leur énergie pour aider ces femmes et ces hommes à moins souffrir, contribuant à la dynamique d’une évolution qui reste potentiellement favorable.
Étayant ses propos sur une longue expérience ou il puise de nombreux exemples dans sa pratique auprès de ces patients, l’auteur s’attache ici à considérer les différents points de vue, en présentant des pistes de compréhension des multiples dimensions de ces troubles. Il le fait en s’appuyant sur les acquis de cliniciens reconnus, mais aussi en évoquant des hypothèses plus personnelles et originales. Il poursuit sa réflexion en proposant une méthodologie de diagnostic qui permet de préciser le niveau et les modalités du fonctionnement psychique de chacun, afin de conduire à une véritable perspective de soin. Il précise enfin les modes d’agir qui paraissent les plus appropriés à chaque situation, lesquels sont ouverts aux aspects pédagogiques, éducatifs et thérapeutiques de la prise en charge.

Michel Brioul, Psychologue clinicien et psychothérapeute, formateur. Son expérience de terrain auprès d’enfants et d’adultes lourdement handicapés, psychotiques et autistes étaye les théories où il puise ses références, et alimente les réflexions qu’il engage. Après avoir exercé dans plusieurs structures d’accueil et de soins, il se consacre davantage aujourd’hui à la formation (formations initiales et interventions dans divers établissements), sans perdre son ancrage de praticien dans l’exercice institutionnel et en répondant aux demandes de psychothérapie auprès d’enfants et d’adultes relevant de ces structures.

Les institutions sociales et médicosociales ont désormais l’obligation de mettre en place des procédures d’évaluation de leur activité. Sont-elles pour autant condamnées à la normalisation par référentiels interposés ? Doivent-elles abandonner leur terrain aux chantres du management et d’une démarche qualité standardisée ?

L’auteur propose ici une alternative à la pensée formatée par les rationalités managériales. Plutôt que d’appliquer avec complaisance des protocoles rigides et sclérosants, il est possible de construire des repères pour penser le quotidien de l’institution, des résidents et des professionnels. À condition de s’appuyer sur la démarche clinique, fondement du travail institutionnel. Loin d’en rester à une critique stérile de l’évaluation, Michel Brioul vise en effet à inscrire celle-ci dans une dynamique dialectique avec la clinique. Solidement ancré dans les réalités institutionnelles, toujours soucieux de la qualité effective des pratiques éducatives et thérapeutiques, son propos se révèle éminemment constructif.

Psychologue clinicien et psychothérapeute, Michel Brioul a exercé dans plusieurs institutions d’accueil et de soins pour enfants et adultes psychotiques, polyhandicapés ou autistes. Toujours impliqué dans la pratique institutionnelle, il est aujourd’hui formateur auprès des travailleurs sociaux et se consacre également à l’évaluation externe. Il est l’auteur de nombreux articles traitant de sujets cliniques et de vie institutionnelle.

Mis au point dans les années trente par le psychiatre allemand Johannès H. Schultz, le training autogène est considéré comme la première méthode de relaxation occidentale. Elle est à l’origine de la plupart des relaxations qui seront élaborées par la suite. C’est une technique scientifique à visée psychothérapeutique qui a été enrichie sans cesse par l’expérience et par la recherche médicale qui l’a largement utilisée. Elle vise à procurer un apaisement des tensions somatiques et psychologiques. Sa pratique régulière aura des effets bénéfiques dans de multiples domaines : stress, sommeil, mémoire, apprentissage, acuité intellectuelle, efficacité physique… Sous le contrôle d’un thérapeute, le training autogène constitue un complément appréciable à de nombreux traitements médicaux ou thérapeutiques.